PSI et OVNI
(Vincent – Juillet 2014) J’ai acheté cet été un livre du parapsychologue américain Ingo Swann où l’on y apprend une chose qui (je pense) complète les messages du Ciel donné à Véronica Lueken sur les OVNI. Ce livre apporte un éclaircissement sur la présence des OVNI dans le ciel terrestre.
Ingo Swann (né en 1934) fut un des piliers de l’unité Stargate dans les années soixante-dix grâce à son talent en vision psychique à distance (« Remote viewing »). Alors qu’il participait à un programme de recherche et de développement sur la « vision à distance » pour la Standford Research Institute (en Californie – un programme financé par le Pentagone et supervisé par la CIA dans le cadre de la guerre froide), il fut contacté par une unité gouvernementale US ultrasecrète, spécialisée dans la surveillance des OVNI.
Ce livre s’appelle « Pénétration » (Éditions de l’Œil du Sphinx) (titre orignal « Penetration »). Il fut édité à compte d’auteur en 1998 car aucun éditeur n’a voulu l’éditer, à la grande surprise de l’auteur (qui avait déjà édité plusieurs ouvrages) qui trouva étrange ces refus.
Ingo Swann attribue à un pouvoir télépathique extraterrestre le fait qu’aucun éditeur n’ai voulu éditer ce livre, mais moi je pense que c’est une volonté divine que ce livre soit resté confidentiel, compte tenu de certains sujets abordés qui pourraient en troubler certains dont la foi est fragile.
Le parapsychologue Français Raymond Réant (1928-1997) avait été confronté au même problème lorsqu’il avait voulu faire éditer un livre sur la technologie des vaisseaux volants des civilisations antédiluviennes (civilisations qui furent détruites par le Déluge).
Malgré tout, ce livre d’Ingo Swann fut traduit et édité en France en 2011, ce qui m’a permis de le lire, moi qui suis très intrigué par le phénomène OVNI.
Ce livre naturellement eut un certain succès chez les « ufologues » (ceux qui s’intéressent aux OVNIs).
Rentrons dans le vif du sujet.
Ingo Swann fut contacté par une unité gouvernementale US « ultra ultra secrète » (basé à Washington) spécialisée dans la surveillance des OVNI, pour faire du « Remote viewing » (vision psychique à distance) sur la face cachée de la lune. Ces fonctionnaires américains chargés de ces missions étaient du style hyper très prudent, pour ne pas dire paranoïaque à l’extrême.
Un an plus tard, alors qu’Ingo Swann faisait ses cours dans un supermarché de Los Angeles (il était en visite chez un ami), il croisa au rayon fruits et légumes une femme méga sensuelle qui, d’après son ressenti psychique alors qu’il s’était approché d’elle, n’était apparemment « pas d’ici ». Mais ce qui confirma sa crainte, c’est qu’il repéra au loin (dans le magasin) les deux agents de l’unité anti-OVNI (avec qui il avait travaillé à Washington l’année d’avant) qui surveillaient cet « alien ».
Ingo Swann, sentant la dangerosité de la situation, se mit à prendre peur et quitta le magasin.
Un extrait du livre « Pénétration ».
Pour illustrer ce chapitre, voici un court extrait du livre « Pénétration » d’Ingo Swann (Éditions de l’Œil du Sphinx) racontant cette rencontre.
(…) Le supermarché avait d’immenses tables chargées d’artichauts. A l’une de ces tables d’artichauts se trouvait une femme ravissante. On la remarquait moins pour ses attributs féminins exceptionnels que du fait que ceux ci étaient à peine couverts. Elle était habillée d’un top dos nu de couleur rose avec des points jaunes. Dessous se trouvait un short si minuscule qu’on le distinguait à peine. Loin en dessous, elle portait des sandales à talons hauts de près de vingt centimètres. Elle avait une abondante chevelure noire et ses yeux étaient cachés par des lunettes de soleil roses. Elle était vraiment terrible.
« Bonté divine ! », pensai je.
Elle sélectionnait des artichauts, et il m’en fallait aussi. Je me débrouillai donc pour m’approcher d’elle discrètement et nonchalamment afin de pouvoir contempler ses seins presque dénudés. Pour avoir l’air naturel, les yeux tournés ailleurs, je pris quelques artichauts et les mis dans un panier.
Et soudain ! Sans la moindre raison, je ressentis un frisson m’électriser qui me donna la chair de poule dans tout le corps. Mes poils se dressèrent sur les bras et mes cheveux dans le cou. Sans rime ni raison, ni calcul d’aucune sorte, je sus soudain que c’était une alien, une extraterrestre.
Ma gorge devint sèche, mes mains se mirent à trembler. Je décidai donc de battre en retraite et commençai à inspecter les oranges et les pamplemousses pour l’aspic de fruit que Conrad et moi avions décidé d’essayer.
Pour aller aux oranges, il fallait que je me retourne et là … Au bout de la rangée de cageots de légumes je reconnus, chose extraordinaire, un des jumeaux ! Il observait la femme. Il vit que je l’avais vu, et immédiatement dans mon esprit apparut l’image d’un carton blanc « ne dites rien, agissez normalement, svp.
(Vincent) Ces jumeaux en réalité n’étaient pas vraiment jumeaux, c’était deux militaires US de la section anti-OVNI avec qui Ingo Swann avait déjà travaillé et qui se ressemblaient beaucoup mais Ingo Swann les surnommait dans son livre « les jumeaux ».
Essayant de rassembler mes esprits assez perturbés, une pensée idiote me traversa la tête. Si un des jumeaux se trouve dans ce lieu improbable, il doit bien y avoir l’autre. Et comme prévu, l’autre jumeau se trouvait à l’autre bout de la rangée de légumes. Il observait la femme lui aussi.
Cette fois, les jumeaux étaient habillés en noir ! Pas ces sinistres complets noirs qu’on dit portés par ceux qui veulent réduire au silence les gens qui ont vu des OVNI. Là c’était des jeans noirs, des bots fines noires et des débardeurs noirs, les faisant ressembler à des voyous machos de la variété losangélienne.
(Vincent) On apprend dans le livre que ces jumeaux se déguisaient facilement lorsqu’ils étaient en mission. Ingo Swann les retrouvera ailleurs déguisés en mendiant.
À cet instant, je compris que je me trouvais dans un endroit où je ne devais pas être et je fis une prompte retraite stratégique vers la boulangerie, de l’autre côté du magasin. Dans le temps qu’il me fallut pour atteindre la boulangerie, une vague considérable de terreur commença à se faire ressentir. (…)
(Vincent) Il fut contacté au téléphone les jours d’après par ces « agents très spéciaux » qui voulaient savoir pour quelle raison il se trouvait ici avec cet « alien » qui était considéré par eux comme très dangereux. Mais Ingo Swann leur dit que tout cela n’était qu’une pure coïncidence.
Visions psychiques d’Ingo Swann sur la lune.
Dans son livre « Pénétration » (Éd. de l’Œil du Sphinx) Ingo Swann, en explorant psychiquement les bases de la lune pour le gouvernement américain, raconte :
(…) Des trous creusés dans les parois et le fond des cratères en rapport manifeste avec une activité minière ou terrassière. Il y avait des « filets » par-dessus des cratères, des « maisons » dans lesquels on vivait apparemment, bien que je n’ai pu voir qui, sauf dans un cas.Dans ce dernier cas, je vis des sortes de gens occupés à travailler sur quelque chose que je ne pu saisir. L’endroit était sombre. L’ « air » était rempli d’une fine poussière et il y avait une sorte d’éclairage comme un brouillard ou une brume jaune vert. Concernant ces gens, ils étaient soit humains, soit exactement semblables à nous et c’étaient tous des mâles comme je pus le voir car ils étaient nus comme des vers. Pour quelle raison, je n’en avait aucune idée. Ils semblaient creuser dans un flanc de colline ou de falaise. (…)
(Vincent) Ci-dessous, image que l’on peut voir avec Google Earth sur la face cachée de la lune et qui ressemble à la description d’Ingo Swann.On distingue ce qui pourrait être deux rangées d’éclairage.2 rangées d’éclairage – comme l’a vu Ingo Swann.
J’arrêtai là. « Bon, Axel, je ne peux pas être sur la Lune. Je vous dois des excuses, j’ai dû aller quelque part sur Terre. » Axel me fixa pendant un moment. Il ne souriait pas, et n’avait pas l’air compréhensif ou tolérant. Je crus que c’en était fini.« Vous êtes sûr que vous voyez des éclairages ? De vrais éclairages ? » demanda-t-il finalement.« Je vois des éclairages, certes ! Mais comment peuvent-ils être sur la Lune ? »Axel avait un crayon dans les mains qu’il tripotait en tous sens. Son absence de sourire se transforma en grimace.« Merde », dit-il finalement, en cassant le crayon en deux. J’étais très étonné et je m’attendais pleinement à ce qu’il quitte la pièce, consterné par le ratage de ma vision à distance. Mais il ne s’en alla pas.« Des éclairages, hein ? Vous avez vu des éclairages ? »« Eh bien oui. Mais pas sur la Lune, sûrement. Comment pourraient-ils être sur la Lune ? » Axel me fixait, sans rien dire. (…)
Récit de Raymond Réant lors d’un voyage astral collectif sur la Lune.
Voici un récit du parapsychologue Raymond Réant lors d’une exploration des bases aliens de la Lune lors d’un voyage astral collectif (il avait fondé chez lui, en Région parisienne, une petite école de parapsychologie).
Extrait du livre « Pratiquez la parapsychologie » – Expérience du 4 juin 1983
(…) En effet alors que sur la Terre l’état d’apesanteur d’un homme en état de dédoublement pouvait facilement être contrôlé, sur le sol lunaire, au contraire, il semblait légèrement contrarier la volonté pour se poser… Une sorte d’élasticité faisait légèrement rebondir les nouveaux explorateurs qui s’y posèrent, mais il s’agissait là d’une impression mentale, qui se dissipa très vite. J’emmenai mes amis au bord d’une cavité circulaire que je connaissais et m’y introduisis le premier, en me laissant descendre entre les parois jaunes et brunes, jusqu’au fond.Ceux qui m’accompagnèrent hésitèrent quelques instants avant de me suivre. Je leur fis un grand signe de la main. Monsieur Pierre descendit, suivi de Madame Marie-Josée, de Madame Marie-Ange, et de Madame Maud. Au fond de cette cavité se trouvait une sorte de tunnel, à l’entrée duquel attendait un homme nommé Zarca, que j’avais déjà eu l’occasion de présenter à Monsieur C., dans de semblables circonstances.
Cet homme n’était pas en état de dédoublement, mais nous percevait très bien. Il était recouvert d’une sorte de membrane grisâtre, qui moulait tout son corps et son visage. Cet homme nous invita à le suivre. Après avoir traversé un sas, nous pûmes observer sur notre droite une pièce d’eau et des végétaux, sorte de légumineuses de grande taille.Puis notre guide nous fit suivre une galerie, dont la voûte était semi-circulaire, et nous aboutîmes dans une grande salle sous-lunaire, en atmosphère conditionnée, compartimentée par une longue cloison transparente, au travers de laquelle nous pûmes observer de nombreux appareils semblables à des ordinateurs, sur lesquels s’occupaient des hommes et des femmes, qui ne portaient aucun vêtement de protection. Ils étaient vêtus comme les Terriens, à peu de chose près. Ce qui avait choqué Marie-Josée, c’était de voir parmi eux une personne entièrement transparente, qui passa près d’elle.Ce fut le premier voyage extraterrestre que je fis faire à ce groupe d’étudiants, et, jugeant nécessaire de ne pas trop les fatiguer, je décidai de terminer cette courte visite, en remerciant notre ami sélénien. (…)
Anomalies sur la face cachée, repérées sur Google Moon.