Deviner les cartes
Deux expériences psi :
Jeu de dés avec des cartes et voyance dans le futur.
Deviner une carte par élimination.
Il s’agit de trouver une carte par élimination, mais à l’aveugle.
La voyance sur objet
En résumé : Il faut se mettre en attente d’images, les yeux ouverts (ou fermés), avec le désir que l’image surgisse, mais en ne pensant à rien. Nous avons une main émettrice et l’autre réceptrice. La main gauche est réceptrice pour les droitiers, la droite pour les gauchers. L’autre main est l’émettrice (pour le magnétisme par exemple).
Extrait d’un texte qui m’a fait découvrir cette « science psi ». Trouvé en 2009 sur un forum spécialisé à l’origine dans le voyage astral.
(…) La technique était assez simple : il fallait se détendre totalement (notamment par une respiration lente et calme), créer le vide mental et un écran blanc devant soi. L’objet dans les mains, il suffisait de laisser venir des images surgir sur cet écran (au bout de quelques minutes de total lâcher-prise) mais en respectant scrupuleusement ceci : ne jamais faire d’associations d’idées entre chaque image, aucune interprétation sur le vif. En effet, cette intrusion intellectuelle, ce parasitage, peut faire complètement dévier les scènes visionnées.
(…) Je rajouterai juste ceci : à force de pratiquer, je me suis rendu compte que l’objet n’était qu’un support, car certaines images que je percevais n’étaient pas des scènes en rapport direct avec l’objet en question. Pourtant, ce « film » pouvait être revisionné comme s’il était archivé dans l’objet. J’en étais arrivé à la conclusion que tout peut s’imprimer dans l’objet, y compris des souvenirs personnels marquants. Mais l’objet permet aussi de faire un lien avec diverses personnes, et l’esprit qui le sonde se connecte ensuite à elles. Il n’est donc véritablement qu’un support. (…) Les associations d’idées concernant l’objet sont donc totalement inutiles et même dangereuses, car elles peuvent nous induire en erreur (imagination, fantasme, etc.).
Il est tout de même clair que les objets possèdent la propriété de « retenir » des scènes du temps.
La méthode expliquée en détail :
Je prends l’objet en main et je laisse quelques secondes se passer. Je reste très détendu, très décontracté, soupèse l’objet. Je laisse du temps pour que son énergie fasse vraiment corps avec moi, tout doucement, tranquillement. À la limite, je peux même parler encore un peu aux gens, regarder autour de moi, dans cette première « prise de contact ».
Puis, je respire très profondément, très longuement, et je ferme les yeux à cet instant, jusqu’à la fin de l’exercice : le but est alors de faire le vide mental, en même temps que la détente physique. Dans cette détente musculaire, je ne pense plus à l’objet… bien qu’au fond de moi, je sache que je vais puiser dedans, ainsi ma pensée peut s’abstraire de vraiment tout. La respiration concentrée consciemment permet le vide mental.
Étape suivante : l’écran blanc, comme dans une belle et grande salle de cinéma. Il faut que l’écran blanc soit nettement imaginé, visualisé, perçu. Ici, c’est très clairement une création mentale.
(…) Quand l’écran blanc est « posé dans l’esprit », cette fois, il faut faire comme un spectateur… qui ne sait pas quel film il va voir… qui attend la première image… Il faut attendre très, très patiemment… La première image peut mettre dix minutes à venir, (elle peut être floue), mais ça peut être aussi un mot, un nom, un bruit, une odeur, n’importe quelle « donnée sensible ».
Voici un autre texte, qu’un internaute doué sur le sujet m’avait envoyé.
Là, on prend l’objet. Avec de la chance, dès la première seconde, on sent qu’il y a un « contact ». C’est souvent là que l’objet « dit » ce qu’il a de plus important. D’une certaine façon, son souvenir le plus marquant. À chacun de faire de cette information la ligne directrice de sa recherche, ou de fouiller dans le temps. En fait, par suite de ce premier contact, les choses ne viennent pas toutes seules. Il faut questionner : Bon alors… Tu viens d’où ? Qu’est-ce que tu es ? Es-tu cher à quelqu’un ? L’état d’esprit doit être : « je suis neutre et je t’écoute ».
Tout se passe le plus souvent sans regarder l’objet. Comme je l’ai dit plus haut, le coup de l’écran blanc est un effort. Au contraire, j’aurais tendance à préconiser un regard vague. Les yeux au repos. La vision justement doit demander le moins d’efforts possible. Les yeux n’ont pas leur place dans cet exercice. Cependant, je ne conseille pas de les fermer, car on s’enferme, alors qu’on demande un message qui vient de l’extérieur de nous-mêmes. Bref, yeux ouverts, mais dans le vague, sans regarder l’objet. L’interrogatoire se poursuit jusqu’à épuisement, soit des questions, de l’objet, ou de soi-même.